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Mobilités à l’horizon 2020
Comment “penser” “réfléchir” les transitions en matière de mobilité, dans des espaces où les reliefs diversifiés et accidentés dans leurs formes peuvent générer des freins. Des idées pour des alternatives à la voiture initiés par des acteurs-citoyens, voient le jour.
C’est un moment charnière pour créer ou développer de nouvelles formes de fonctionnalités des zones rurales et « faire lien » avec les zones urbaines. L’exemple d’une initiative citoyenne (proposée sur les réseaux sociaux) en Pays Viganais, dans le Gard, qui propose d’innover avec mobicoop, une coopérative de co-voiturage.
Ainsi, selon une étude de l’observatoire de la mobilité émergente, 73 % des habitants des zones rurales ont un usage quotidien de la voiture, contre 28 % dans les villes centres des métropoles.
L’absence d’alternatives, freinent le développement de l’activité et le maintien du bassin d’emploi nécessaire à l’amélioration du cadre de/à la vie locale et l’impact de son attrait.
En effet, c’est en fluidifiant les mobilités dans les inter-connexions avec les centres urbains que la dynamique des rencontres, des partages, des négociations, des partenariats, des projets, peuvent s’inscrire dans le temps longs des actions, tout en prenant en compte, l’environnement.
Sur le plan individuel, et sans vouloir être moraliste, sensibiliser à l’importance de changer de modèle de mobilité, demande à éveiller (ou réveiller) la conscience, de ses choix quant aux priorités que l’on se donne, que l’on donne aux actions collectives, et à son mode de consommation.